Le 15 mai au réveil notre bouledogue français Phédre est très mal, c’est soudain brutal et incompréhensible, et nous suivons les conseils : venir rapidement.
Sur le trajet son état se dégrade, elle arrête de respirer. Je hurle et tente tous les gestes d’urgence stimulation et massage.
J’arrive à la clinique en criant « elle ne respire plus » …….
Quelques minutes s’écoulent et la vétérinaire revient et me dit « elle avait de l’eau dans les poumons » ….
A partir de cet instant nous basculons dans un défaut de prise en charge grave : aucune compassion ni d’empathie on nous laisse seuls devant l’accueil à tenter de comprendre que tout est fini que Phédre s’est éteinte !
La seule communication que nous allons avoir est sur le choix à prendre : incinération ou enterrer dans notre jardin !
J’attendais de votre part en pareil cas une qualité dans l’accompagnement que vous êtes sensés avoir auprès des maîtres et de nos amis à 4 pattes
Vous avez été irrespectueuse tant vis à vis de notre Phédre que de nous-mêmes
Votre défaut de prise en charge s’entend malheureusement sur le suivi également de la journée qui a ajouté à notre peine de la détresse
Je souhaite que toutes les informations que j’ai pu lors d’un échange avec une autre de vos collègues et cet avis pourront vous faire prendre conscience de vos manquements et vous éviteront de reproduire de telles attitudes en pareille situation